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Dans les petits papiers de La Bande Passante

#20 > Été 2023

Bonjour à tous·tes,

Dernier temps de la saison avant les festivals d'été !
Et de très nombreuses choses à vous raconter, parce que de l'actualité, il y en a eu au printemps à la compagnie, et cette lettre est toujours un moment précieux pour regarder un peu dans le rétroviseur et constater les distances parcourues (et regarder un peu le paysage après coup quand même !).
L'activité de la compagnie, c'est un peu cela, des projets partout tout le temps, des gens qui les rêvent et qui les mènent, et finalement peu de temps et de recul pour les raconter, les comprendre ensemble, et les partager.
Alors Iseult collecte et trie les photos, les mots, l'actualité partout où elle a lieu, elle organise progressivement ce que pourrait être cette lettre, elle interviewe artistes et interlocuteur·ices, afin de donner du recul sur toute cette activité, et mettre tout cela en perspective. Avec Camille, elles mettent tout cela en forme, et toute l'équipe de la compagnie découvre cette lettre au même moment que vous, avec une certaine forme de surprise, et aussi de plaisir.
Un plaisir à partager, comme une discussion sur une terrasse d'été.
Bonne lecture, et bel été à toustes !

La Bande Passante

Sommaire

LES CRÉATIONS PARTICIPATIVES : LE CYCLE DEVENIR(S) 

    EN LIGNE : La récolte et le partage de récits de soi adolescents
    DANS LE BÉARN (64) : L'exposition «Avoir 14 ans hier, aujourd’hui… et demain» 
    DANS LE NORD DU DPT 54 : Parcours documentaire Au coeur du Pays Haut
    DANS L'OISE (60) : Des lettres enfouies par des ados pour leur moi du futur
 

DE LA SCÈNE AU MUSÉE

   — À MOULINS (03) : Nos créations plastiques exposées au CNCS


DE LA SCÈNE AU DISQUE

     EN RÉGION PARISIENNE : Le futur album des chansons de Devenir 


LA COMPAGNIE EN CRÉATION

    À METZ (57) : Retour à Sonora (création fin 2025)
 

LA COMPAGNIE EN TOURNÉE

    Devenir
   Vies de Papier
    Saison 23/24

LES CRÉATIONS PARTICIPATIVES 

LE CYCLE DEVENIR(S) 

EN LIGNE ET SUR LE WEB

Un site pour partager les récits de soi adolescents

Page rechercher du site Devenir(s)

C'est tout un cycle autour de l’adolescence qui a débuté lorsque la compagnie a commencé ses premières recherches pour le spectacle Devenir. Ce sont de nombreuses collectes dans le présent et dans le passé que nous avons menées sur de nombreux territoires, avec de nouveaux documents et témoignages, et créations qui continuent d'affluer tout au long de la saison.
Pour donner un espace d'accueil et mettre en réseau de toute cette matière sensible, nous avons inauguré un nouveau site webdocumentaire à Oloron Sainte Marie lors du vernissage de la grande exposition réunissant les créations des adolescent·es que nous avons accompagné·es sur ce territoire.
Créé par Camille Baroux, Thomas Daveluy et Benoit Faivre, ce site permettra d'archiver et de partager toute la matière textuelle, sonore, musicale, et vidéo que nous collecterons tout au long de ce cycle baptisé "Devenir(s)".

Visiter le site Devenir(s)

DANS LE BÉARN (64)

« Avoir 14 ans hier, aujourd'hui…et demain »

L'Espace Jéliote, nouvellement labellisé Centre National de la Marionnette à Oloron Sainte Marie, est un lieu partenaire de la compagnie depuis plus de 10 ans. Lors de notre venue en résidence de création pour Devenir en février 2022, nous avions rencontré de nombreux·ses acteur·ices culturel·les du Béarn pour leur parler de nos projets participatifs autour de l'adolescence. Ce sont près de 6 projets de création qui ont vu le jour suite à cette rencontre, menés par des professeur·es et des artistes auprès de plus de 200 adolescent·es et d'habitant·es, pilotés par la compagnie et le théâtre.
L’accueil de Devenir à L’Espace Jéliote les 23 et 24 mai derniers était le moment de rendez-vous très attendus d'inauguration de tous ces projets, réunis dans l'exposition «Avoir 14 ans hier, aujourd’hui et… demain».
Réunissant photos, cartes postales préparées, correspondances, projections, sons à écouter, l’exposition permet de se plonger dans toute cette formidable matière artistique et sensible réunie autour de l'adolescence. Ce fut aussi l'occasion d'inaugurer le site internet Devenir(s) qui accueillait déjà ces nouvelles créations, qui était consultable via une borne dédiée.
C'est donc avec une émotion particulière que nous avons assisté au vernissage d'un projet de territoire d'une telle ampleur. Voir ces constellations de récit s'enchevêtrer à une telle amplitude géographique et intergénérationnelle, le tout coordonné par des artistes et des professionnel·les à ce point engagé·es, c'est fabuleux !
Un énorme bravo aux participant·es, artistes, associations et à toute l’équipe de l’Espace Jéliote ! Nous vous proposons de jeter un oeil à tous ces récits aux formats très différents !

découvrir les ateliers

EN MEURTHE-ET-MOSELLE

Un parcours documentaire "Au cœur du Pays Haut"

→ La maquette augmentée (détails)

Le 15 juin dernier a eu lieu le vernissage d’une première année d’ateliers menés par Laurence Moletta (réalisatrice sonore) et Tommy Laszlo en partenariat avec Scènes & Territoires et la Communauté de communes cœur de Pays Haut au collège Joliot Curie de Tucquegnieux autour de la mémoire minière et de la parole adolescente. Ce travail vient marquer la première étape d'un projet sur deux années, qui va être développée dès l'année prochaine. Accompagné·es par les artistes, les participant·es ont créé une maquette sensible à partir d'archives plastiques et augmentée d’archives sonores. Laurence a dirigé d’une main de maître ce travail sonore avec les adolescent·es. 

RENCONTRE AVEC LAURENCE MOLETTA

«J’accorde une attention toute particulière à la création de projets in situ et la transmission d’outils techniques pour impliquer les participant·es d’une manière différente que ce à quoi iels peuvent être habitué·es»

Cela fait 3 ans maintenant que tu es réalisatrice sonore…

J’ai fait des études en musique et électro-acoustique où j’ai approfondi les techniques de l’interview et de la documentation sonore pour m’investir d’abord dans la recherche et le développement de capteurs de mouvements pour ensuite me consacrer à la documentation en travaillant, entre autre, pour quelques émissions de France Culture (avec Olivier Longre notamment dans la composition des musiques d'une fiction radiophonique, une adaptation de Le Chat de Simenon) où j’ai rencontré Benoit en 2020 en tant que créateur son. Après la divers projets musicaux (concert-vidéo, composition musicale...), je découvre tout un monde autour de la réalisation sonore et décide m'y plonger !

Mes projets aujourd’hui concernent les territoires, où je m’évertue à faire des projets participatifs avec les habitant·es mêlant storytelling, composition musicale et éducation artistique et culturelle. J’accorde une attention toute particulière à la création de projets in situ et la transmission d’outils techniques pour impliquer les participant·es d’une manière différente que ce à quoi iels peuvent être habitué·es. C'est ce que j'ai mis en place avec Traces à Cours-la-ville et Thizy-les-Bourgs, une série de parcours sonores géolocalisés permettant de redécouvrir une ville à partir des récits d'habitantes par le biais d'une application. 

Le travail que vous avez mené avec Tommy auprès des collégien·nes de Tucquegnieux mêle créations plastique et sonore à partir d’un long travail de terrain dans le Pays Haut. Comment avez-vous mêlé ces deux aspects ?

Tommy avait déjà interviewé des gens et récolté certaines photos de famille en lien avec la mine quand je suis arrivée. Parmi eux, il y avait M. Stachowiak, ancien mineur, venu à la rencontre des jeunes qui lui ont posé leurs questions en lien avec les photos récoltées, pour mieux comprendre. Je suis arrivée à ce moment-là et ai apporté des compétences techniques dans un premier temps pour que les jeunes puissent s’essayer à la prise de son. On s’est demandé «que peut-on poser comme questions à partir de ce qu’on a sous les yeux ?» — de là est né un début de narration. L'entretien enregistré entre les jeunes et M. Stachowiak a constitué une première base. Dans un second temps, les jeunes ont reformulé avec leurs propres mots ce qu’ils entendaient et comprenaient de la part de l'ancien mineur, amenant la narration à un autre endroit. Il ne leur suffisait pas d'imiter ou de lire ce qui avait été transcrit mais d'y apporter leur propre réalité et de travailler sur une manière théâtralisée de le reformuler.

Ce projet s’inscrit également dans le cycle Devenir(s). Comment s’est opéré ce pont entre le patrimoine minier et l’adolescence ?

Certains mineurs étaient adolescents à l’époque de leurs récits, ce qui a permis aux ados d’aujourd’hui de s’identifier. Petit à petit, les thématiques abordées dans ces enregistrements et photos leur ont permis de livrer leurs propres témoignages : est-ce que je serais prêt·e à mourir pour mon travail ? Qu’est-ce que la solidarité ? 

Tu abordes avec les ados une époque qu’ils n’ont pas connue et des problématiques très intimes. Ça n’a pas été compliqué ?

Les ados avaient, à l’initiative de Tommy après leur première rencontre, enregistré leur famille à partir de questions que les jeunes avaient préparées. Ces enregistrements, pour beaucoup, contenaient peu d’informations. Ce sont des questions parfois taboues. Néanmoins d’autres personnes ont livré des témoignages très fournis que les ados ont retransmis à leurs camarades par le biais réjouissant de la maîtrise technique de l’enregistrement. Très vite, des questionnements, des débats se sont instaurés et les langues se sont déliés. Iels n’étaient en aucun cas bloqué·es par le regard des autres de la classe. 
A présent, j’ai beaucoup de matière. Une partie est à retrouver sur cette maquette sensible créée avec Tommy (voir la vidéo ici). Le reste, je dois continuer à le dé-rusher… Ce sera pour cet été et je m’en réjouis !

→ Fabrication de la maquette

Rendez-vous dès septembre 2023 pour la deuxième étape de ce projet de territoire ! Sous le regard de Laurence, des élèves partiront à la rencontre d'habitant·es au Coeur du Pays Haut afin de réaliser une collecte sonore sur plusieurs communes. Merci aux partenaires et à toustes les participant·es pour leur implication. 

Découvrir la maquette sonore sur notre site

DANS L'OISE (60)

Des lettres enfouies par des ados pour leur moi du futur

Visite de Creil, écriture, cyanotype...

Enfouissement de la capsule

Dans le cadre de l’accueil de Devenir en mai dernier à La Faïencerie de Creil, Camille Baroux et Thomas Gourdy ont dirigé un atelier d’écriture sur le mode de l’écriture de soi. Les participant·es à ont écrit une lettre destinée à un lieu, un témoignage d'un endroit qui leur est cher auquel peut être liée une histoire, un secret… une histoire intime. Pour, au fil de l’écriture, ouvrir sur la question suivante : "qu’est-ce que je n’ai jamais pu dire à moi-même ailleurs qu’ici ?". Souvenirs de ce lieu et confidences y sont couchées sur le papier... Ces lettres ont été placées dans une capsule temporelle pour une durée de 10 ans, accompagnées de cyanotypes créés à partir d’objets et de traces retrouvés sur les lieux en question ainsi que d’anciennes cartes postales de Creil fournies par le service des Archives de la Ville. La capsule a été enterrée dans le jardin des Archives le 14 mai dernier. Rendez-vous le 14 mai 2033 pour le déterrer et retrouver ces lettres d’une décennie en arrière !

Pour en connaître plus, nous vous invitons à écouter le podcast d’Emmanuelle Soler, journaliste, sur cette aventure !

DE LA SCÈNE

 AU MUSÉE

À MOULINS (03)

Nos créations plastiques exposées au CNCS

Vues d'exposition (Villes de Papier, Cockpit cuisine)

À l’occasion de l’exposition « Pourquoi la marionnette ? » dans le cadre de l’ouverture du nouvel espace permanent « La scène » au sein du Centre National du Costume de Scène, La Bande Passante a été invitée à prendre part à cet événement. Afin de témoigner de la pluralité des aspects qui composent l’art de la marionnette et les arts associés, nous avons le plaisir de présenter trois vitrines autour du théâtre d’objets avec des éléments de décor de Compléments d'objets (2007), Cockpit cuisine (2012) et Villes de Papier (en cours depuis 2014), grâce au concours de Charline et Tommy parti·es à Moulins pour monter ces vitrines.

L'occasion de poser quelques questions à Aurélie Rezzouk, commissaire de l'exposition exposition, enseignante-chercheuse en Etudes Théâtrales à l'Université de La Sorbonne - Paris 3 et détentrice d'une thèse de muséologie consacrée aux arts du spectacle. 

RENCONTRE AVEC AURÉLIE REZZOUK

© Abdou Diouri

« Comment montrer la diversité des arts de la marionnette aux personnes qui ne s’y intéressent pas ? En les atteignant là où elles ne s’attendent pas ! »

« Pourquoi la marionnette? » interroge cette exposition… Peut-on avoir un début de réponse ?

Ce qui m’intéresse, c’est la vision large conférée à la marionnette, pourtant parfois encore méconnue. On parle d’«arts de la marionnette» ou d’«arts associés», montrant un passage autre que celui par l’acteurice. La marionnette propose des visions diverses sur le plan esthétique. Il y a une unité qui ne saute pas aux yeux d’emblée. 
C’est en partie ce qui m’a donné envie de prendre le commissariat de cette exposition : établir une cohérence pour les personnes pour qui le monde de la marionnette est encore inconnu. Pour cela, je suis allée chercher Joël Huthwohl, directeur de département des Arts du spectacle à la BNF et conservateur sur la marionnette.

Apporter un regard plus précis sur ce qu’on appelle les arts de la marionnette aujourd’hui. Tout un programme, surtout hors d’un plateau!

S’il y a bien un endroit où il faut parler de marionnette, c’est hors d’un théâtre, pour atteindre d’autres personnes que des spectateurices habitué·es ! Il règne encore une vision pas tout à fait juste de la marionnette aujourd’hui. Alors comment montrer la diversité de cet art aux personnes qui ne s’y intéressent pas ? En les atteignant là où elles ne s’attendent pas. Cette exposition est donc adressée aux personnes qui viennent par curiosité, pour le lieu principalement, afin de témoigner de la pluralité de moyens de ce théâtre « par objets interposés » pour reprendre les mots de Roland Shön.

Pourquoi votre choix s’est-il porté, entre autres, sur La Bande Passante?

Le propos du CNCS va au-delà des collections propres. Nous avons voulu sortir des sentiers battus. En questionnant la marionnette, nous nous sommes surtout demandé «pourquoi recourir à la marionnette ?». Ce que j’aime, c’est que beaucoup de formes y sont associées, mais ça ne va pas toujours de soi – comme avec le théâtre d’objets documentaire par exemple ! 

L’exposition est là pour montrer pourquoi. Des compagnies comme La Bande Passante étendent le langage de la marionnette. La question du jeu se passe délicatement entre objet et comédien, le récit rebondit de l’un à l’autre suivant les besoins de ce qui doit être raconté, signifié. C’est ce qui me touche à La Bande Passante : cette souplesse à dire « on va là où les besoins du récit nous emmènent ». Et cette modestie de l’acteur qui se retire pour dire « ça n’est pas moi qui signifie », sans se cacher pour autant !

DE LA SCÈNE

 AU DISQUE

EN RÉGION PARISIENNE

Enregistrement du futur album des chansons de Devenir

→ Manuel, Maxime et Léopoldine en studio

Cela fait bientôt un an qu'on y pense, et cela prend forme !
Courant juin, Maxime Kerzanet, Léopoldine Hummel et Manuel Faivre se sont retrouvé·es en studio pour enregistrer un album à partir des chansons composées pour le spectacle Devenir. Au programme, près de 52 minutes de "chanson documentaire" à partir des nombreuses compositions originales de Maxime à partir de textes des journaux de nos contributeur·ices, et de documents personnels inédits !
Un projet co-produit par la compagnie la Bande Passante et Dylan Guilloux de Hé Ouais Mec Prod
Sortie prévue pour l'automne !
Et peut-être des concerts ?

retrouvez les premiers extraits sur notre SoundCloud

LA COMPAGNIE 

EN CRÉATION

À METZ (57)

Retour à Sonora, création automne 2025

Cette fin de saison est marquée par un retour à la création pour Retour à Sonora, spectacle de bande-dessinée augmentée et musique live à partir de l'œuvre éponyme du bédéaste Nicolas Moog, prévu pour l’automne 2025. Tommy a pris ses scalpels pour quelques recherches graphiques, et avec ces premières images, une dramaturgie se dessine…

Nous sommes toujours à la recherche de coproducteurices pour ce spectacle et serions ravi·es d’échanger avec vous à ce sujet!

LA COMPAGNIE 

EN TOURNÉE

Devenir

À CREIL (60), ARGENTEUIL (95) ET OLORON-SAINTE-MARIE (57)

Cette saison intense aura été marquée par la création Devenir après plus de 3 ans de travail et recherche autour des récits de soi adolescents. Une belle tournée s’en est suivie, allant de pair avec la poursuite de récoltes de témoignages intimes et venant concrétiser de nombreux projets de territoire et la création d’un webdocumentaire. 

Sans oublier la presse qui nous accompagne avec, entre autres, la dernière critique parue à propos de Devenir dans Toutelaculture : «Devenir, plongée poétique et sensible dans la mémoire des adolescent·es». Merci encore à Matthieu Dochtermann pour cet article.

lire l'article

Retrouvez également le reportage de France 3 Picardie à l'occasion de votre venue à Creil pour l'ouverture du Festival Les Infaillibles à La Faïencerie. Et bien sûr… notre cher livre d’or qui ne nous quitte jamais et permet un prolongement avec le public à l’issue du spectacle.

«Le spectacle m’a vraiment beaucoup plu, j’ai trouvé que dans cette pièce il y avait beaucoup de personnes qui pensaient pareil. Le journal que j’écris me délivre de beaucoup de problèmes que je n’arrive pas à résoudre ou dont je n’arrive pas à parler.» 

 

«J’ai eu envie de relire mes journaux intimes pour relier avec la personne que j’étais car j’écrivais beaucoup, pour garder une trace. Mais je ne suis pas sûre d’être prête de parler à ma jeune moi. Au fond, j’ai réalisé avec ce spectacle qu’on est toujours un peu ado. Je vous offre ce paragraphe qui aurait pu figurer dans mon journal !»
 

«Le ticket du spectacle de ce soir va être archivé dans ma chambre dans une boîte à souvenirs, cette boîte à chaussures qui elle aussi est un spectacle en puissance. Ce soir après la représentation, je ne pourrai plus dire si j’étais spectateur ou acteur, témoin de nos spectacles d’adolescence dont le mien. Je suis le spectateur de ma propre histoire et cette oeuvre est celle des rares qui m’aident à la comprendre, à apprécier la plume de l’auteur de mes jours.»

 

«J’ai revu des parties de ma vie et de mes peurs, de mes doutes et de mes écrits. On a souvent tendance à ne pas réaliser combien, nous changeons et à penser en même temps que cette époque est révolue.»

À METZ (57) ET ERLANGEN (DE)

Vies de Papier

Vies de Papier à Erlangen

Vies de Papier à Scy-Chazelles

Vies de Papier a également continué de sillonner le territoire en expérimentant de plus en plus de formats différents de spectacle — notamment en salles polyvalentes ou non équipées (tels qu’au Centre européen La Maison Robert Schuman à Scy-Chazelles). 

Un vrai défi qui ouvre de nouvelles perspectives pour ce spectacle qui continuera à tourner l’année prochaine en France… et pas que ! Notre venue récente à l’internationales Figurentheaterfestival (festival internationl du théâtre de marionnette) à Erlangen en Bavière augure de chouettes horizons Outre-Rhin : on ne pouvait pas rêver mieux pour cette histoire partagée entre France, Allemagne et Belgique !

Saison 23/24

Nous vous donnons rendez-vous dès septembre prochain pour une nouvelle saison détonnante ! Première date à la maison: Devenir les 22 et 23 septembre à la BAM, Cité musicale de Metz ! Nous vous souhaitons le plus doux et exaltant des étés.

La Bande Passante, c'est, entre autres:

Camille BAROUX, Artiste associée et réfèrente graphisme
Aurélie BURGUN, Responsable administrative, administration@ciebandepassante.fr
Iseult CLAUZIER, Responsable de la communication et de la diffusion, 06.30.95.20.99, communication@ciebandepassante.fr
Benoît FAIVRE, Co-responsable artistique, labandepassante.cie@gmail.com
Kathleen FORTIN, Artiste associée
Maxime KERZANET, Artiste associé
Thomas GOURDY, Artiste associé
Tommy LASZLO, Co-responsable artistique, artistique@ciebandepassante.fr
Khaled RABAH, Responsable technique, technique@ciebandepassante.fr
Sophie APTEL, Marie Jeanne ASSAYAG, Charline DEREIMS,T ristan LANCHON Régisseur·ses de tournée
Et Leila BESSAHLI, Jean-Yves COURCOUX, Thomas DAVELUY, Gabriel FABING, Dominique FABUEL,David GALLAIRE, Julien GOETZ, Pauline JARDEL, Guillaume LEPREVOST, Laurence MOLETTA, Francis RAMM, Daniel TRENTO, Andreea VIZITIU, Guillaume WALLE...


La compagnie La Bande Passante est conventionnée par la Direction régionale des affaires culturelles du Grand Est, la Région Grand Est et la Ville de Metz.

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Responsable de la Communication et de la Diffusion – Iseult Clauzier

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