Actualités

Dans les petits papiers de La Bande Passante — Été 2022
tetiere la bande passante

#15 > Été 2022

Bonjour à tous·tes,

L’été est là et c’est pour nous l’occasion de vous faire parvenir les dernières nouvelles de la compagnie. Cette saison 2021-2022 s’achève et elle a été très dense et très rythmée.

● Dense au niveau de la tournée, avec plus de 60 représentations (dont de belles tournées dans les Pays de Loire, La Nouvelle Aquitaine, La Bretagne, les Bouches du Rhône, l’Allemagne et la Réunion).

● Dense au niveau des créations, avec la restitution des ateliers amateurs au Carreau (Scène nationale de Forbach), avec la création de Le Dîner aux Musées de Sarreguemines, avec les premières séquences plateau de Devenir en Alsace à Reipertswiller, à Oloron dans les Pyrénées Atlantiques et à Metz où la compagnie est implantée.

● Dense au niveau des ateliers : avec plus de 15 jours d’intervention aussi bien en sensibilisation qu’en formation professionnelle auprès de spectateur·ices, d’enfants et de professionnel·les de l’édition, de la conservation et de la lecture publique.

● Dense au niveau des projets, avec de nombreuses rencontres de partenaires et d’artistes : l’édition d’un petit livre à partir des écrits intimes d’adolescent·es avec Camille Baroux, les prémisses d’un projet de création autour de la Bande Dessinée avec Nicolas Moog (Retour à Sonora création 2023), la rencontre avec les Archives de la villes de Paris, le Musée des Jeux Olympiques de Lausanne pour le Stade (création 2024), la création à venir d’un site webdoc de création et bien sûr les nombreux projets d’action culturelle de la compagnie sur tout le territoire en lien avec Devenir sur la saison 2022-2023.

● Enfin dense au niveau de la structuration de l’équipe de la Bande Passante avec l’arrivée de Khaled Rabah, notre nouveau directeur technique en octobre, et d'Iseult Clauzier, notre nouvelle responsable de la communication et diffusion en février 2022. Tou·tes deux ont eu à gérer les projets de cette saison, et ceux, nombreux, de la saison prochaine !

Cette période très foisonnante et sportive touche maintenant à sa fin, et alors que débutent les festivals d’été, nous allons profiter de cette respiration et du calme des prochains mois pour nous préparer à la rentrée. Nous vous retrouverons alors plein d’une nouvelle énergie en septembre.

Bel été à tous·tes,

 

                               L'équipe de la Cie La Bande Passante

Sommaire

DEVENIR : JOURNAL DE CRÉATION

• Trois semaines de création plastique autour du théâtre de papier

• Une semaine de résidence technique à l'espace BMK

• Travail de recherche musicale en cours

LA TRANSMISSION : SENSIBILISER LES ADULTES ET LES ENFANTS AU TRAVERS D'ATELIERS ET DE WORKSHOPS

• Ateliers de sensibilisation autour de Vies de Papier

• Les workshops et la formation professionnelle

EN ROUTE POUR LA SAISON PROCHAINE

EN BREF…

DEVENIR

JOURNAL DE CRÉATION

Trois semaines de création plastique autour du théâtre de papier

Ces derniers mois, différentes résidences de création ont eu lieu à Metz et ont précisé le spectacle sous des aspects technique, scénographique, plastique et dramaturgique.

 

→ Entretien avec Benoit Faivre

Le création pour Devenir se poursuit. Qu’est-ce qui a été exploré jusqu’à présent ?

Ce spectacle fera appel à toutes les disciplines explorées par la compagnie. Depuis 2019, nous avons réalisé un travail de collecte à l’intérieur de journaux intimes, mais aussi sur le terrain, directement auprès d’adolescent·es. C’est à partir de ces écrits et documents collectés et rassemblés que nous avons réuni la matière textuelle du spectacle.

La saison 2021-2022 a été le moment où pour la première fois nous avons envisagé de nouvelles pistes de recherche au niveau du plateau, du spectacle et de la représentation. Comment faire coexister documents papier et interprètes au plateau ? Quels sont les enjeux qui se développent ? Comment la scénographie se dessine-t-elle petit à petit ?

Ces questions, nous les avons explorées lors de différentes résidences à Metz (local Compagnie et Espace BMK), à Reipertswiller (Cie Amoros — Alsace), à Oloron Sainte Marie (à l’Espace Jéliote — Pyrenées orientales).

Sur quoi avez-vous travaillé lors de ces résidence ?

Ces résidences ont eu lieu à Metz dans les locaux de la compagnie et à l’espace BMK. Concernant la résidence aux locaux de la compagnie, nous avions besoin de travailler plus avant sur la question de la représentation des documents papier, et plus précisément des journaux intimes, au plateau. La compagnie dispose d’un savoir faire particulier dans la mise en scène des documents papier et leur transformation en objets spectaculaires. 

Ces pistes, explorées en février à Oloron, restaient à approfondir. C’est ce que nous avons fait dans les locaux de la compagnie pendant près de 3 semaines. Par un travail de recherche vidéo, de manipulations, de travail du papier augmenté, Tommy, Kathleen, Camille, Francis et moi avons travaillé à développer les bases d’un spectacle de papier constitué à partir de journaux intimes et de documents que nous avons collectés.

Quelles ont été vos inspirations ? 

Nous avons souhaité mettre l’accent sur l’image de la transformation en nous inspirant de ressources diverses (contes, iconographies, romans…) pour l’évoquer non seulement dans la forme plastique du spectacle, mais aussi dans la dramaturgie.

La Petite Sirène d’Andersen, par exemple, aborde la question de la transformation afin d'accéder à une compatibilité avec l’être aimé. Il s’agit de se transformer pour changer de milieu, d’environnement. Cette question entre en résonance avec l’acte d’écriture de soi : pourquoi et comment s’écrire nous-mêmes nous projette dans telle ou telle direction ? On retrouve aussi ces thématiques dans l’œuvre d’Edouard Louis, notamment dans Pour en finir avec Eddy Bellgueule et Changer : Méthode, œuvres dans lesquelles il écrit sur sa transformation volontaire lors de l’adolescence. A l’instar de la petite sirène pour qui des jambes, à la place d’une queue, permettent de parvenir socialement à un idéal et à l’amour humain, Edouard Louis écrit comment il doit se faire refaire les dents ou effacer son accent pour accéder à une nouvelle classe sociale.

Ces récits qui se répondent nous ont beaucoup inspiré.

Une semaine de résidence technique à l'espace BMK

La dernière résidence de la saison a eu lieu à l’espace Bernard-Marie Koltès. Il nous fallait un plateau équipé pour une résidence purement technique. Nous avons ainsi pu passer en revue de nombreux matériaux (sols et écrans), valider les dimensions et les plans des éléments de décors pressentis (sol, cadres, tables), tester du matériel audiovisuel (caméras et vidéoprojecteurs) et du matériel lumière (réaction de la lumière aux propositions scénographiques, essai de projecteurs asservis). Cette résidence a permis de préciser certains éléments, de passer commande de matériel  et de préparer le terrain techniquement pour les futures résidences de septembre (Le Tandem, Scène nationale de Douai / Arras) et d’octobre (Le Théâtre de Laval, CNM).

Ce fut aussi l'occasion d'accueillir notre éclairagiste sur ce projet, JeanYves Courcoux, et pour Iseult de lui poser quelques questions. Rencontre...

Tu es éclairagiste pour le théâtre…

Tout a commencé à la Comédie de Caen dans les années 80. J’y suis resté 10 ans, puis j’ai poursuivi la création lumière avec des personnes et compagnies très diverses dans le théâtre notamment. Petit à petit, mon travail s’est dirigé vers le théâtre d’objet, la marionnette avec, entre autres, Jean-Pierre Larroche, Alice Laloy, Bérangère Vantusso…

Et Cécile Backès, là où vous vous êtes rencontrés avec Benoît Faivre !

Oui ! Nous nous sommes rencontrés sur la création de King Kong Théorie de Virginie Despentes mis en scène par Cécile Backès en 2009 à Scènes Vosges à Epinal. Benoît était au son, moi à la lumière. Depuis, nous sommes restés en lien et nous nous tenons régulièrement au courant -de nos actualités artistiques…

Comment a débuté votre collaboration pour Devenir ?

C’est la première fois que je travaille avec la compagnie ! Il y a quelques mois, Benoît m’a proposé de faire la création lumière pour ce spectacle. Bien que les résidences aient commencé il y a quelque temps déjà, c’est la première à laquelle j’assistais. J’avais d’abord vu des images et des captations de répétition, alors qu’en général je démarre assez tôt sur une création : à la scénographie, autour de tables de lecture… Cette fois, c’était une autre temporalité car je suis arrivé quand beaucoup de choses étaient en place, sauf la lumière. Cette résidence a donc marqué le début de la création lumière pour Devenir.

Comment avez-vous travaillé ? Y’a-t-il eu des contraintes ?

Ce qui est intéressant ici, c’est que le spectacle se passe en trois dimensions. Il ne s’agit pas juste d’une projection sur un écran : l’image vidéo est mobile et très interactive avec ce que les textes, la musique et la manipulation proposent. Il a fallu faire en sorte que la lumière se fonde dans tout ce procédé. Cette résidence a été l’occasion de déterminer quel serait le matériel technique nécessaire, notamment.

Avec La Bande Passante, c’est une autre manière de fonctionner : c’est en recherchant, en créant que les choses se font. Rien n’est figé. Malgré le projet scénographique très avancé, tout est encore à faire au niveau de la lumière. Tout reste ouvert, d’où cette résidence de recherche. Nous avons essayé, tâtonné… Afin de pouvoir déterminer, avant la prochaine résidence, ce dont nous aurons exactement besoin.

Y’a-t-il des contraintes à travailler avec des matériaux aussi divers ?

L’usage de la vidéo peut constituer une contrainte car elle constitue une autre source de lumière. Il ne faut pas qu’il y ait de contradiction entre les deux. 

D’autre part, le tulle au plateau nécessite un usage habile de la lumière : il faut éviter de trop toucher, de ne pas inonder l’écran avec la lumière. Mais ces contraintes obligent à aller travailler ailleurs ! Tout cela amène à des scènes très diverses où la lumière peut intervenir par touches. Il y a un terrain de jeu superbe et de la réserve dans les moyens ! Pour l’instant, la recherche n’est pas terminée… 

La lumière peut-elle apporter un lien à toute cette matière ?

Nous tendons à une esthétique d’ensemble bien que les images soient très différentes. Il y a un fil à trouver au niveau de l’éclairage. Pas forcément une esthétique continue : il peut y avoir des ruptures… comme ce que vivent les ados, après tout.

Travail de recherche musicale en cours

Maxime Kerzanet poursuit ses recherches autour de la création musicale de Devenir à partir des écrits intimes collectés et de sa propre adolescence. De nouvelles pistes ont vu le jour depuis la dernière résidence que nous sommes ravi·es de vous partager ici : 

LA TRANSMISSION

SENSIBILISER LES ADULTES ET LES ENFANTS AU TRAVERS D'ATELIERS ET DE WORKSHOPS

Réalisation dans le cadre du workshop « Exposer le livre : le livre comme espace scénographique ? » 

La compagnie poursuit ses ateliers et workshops en lien avec les archives et avec les Mondes de Papier en particulier. 

Ateliers de sensibilisation autour de Vies de Papier

Au cours de ses travaux de médiation, la compagnie a constitué plusieurs possibilités d’ateliers en accompagnement du spectacle Vies de Papier. Tara Gulhati, responsable de la médiation à la compagnie, est à la manœuvre.

On peut citer deux types d’ateliers principaux.

L’un de ces ateliers consiste en la reconstitution d’un album-photo à partir de documents d’inconnu·es et la création d’une narration à l’aide de la caméra : « Et c’est alors que la magie opère : les créateurs racontent l’histoire de photos qu’ils ont découvert à peine trois heures plus tôt, comme si ces souvenirs étaient les leurs, ou ceux de leurs familles et amis, en tournant les pages de leurs albums. » (Tara Gulhati.)

Un autre atelier est abordé sous l’angle du récit de soi, cher à la démarche de la compagnie. Il est demandé aux participant·es d’imaginer des histoires à partir d’objets qu’elles et ils se voient remettre. Ces récits doivent se faire à la première personne. Comment peut-on parler intimement d’un souvenir, même s’il ne s’agit pas de notre souvenir ? 

« Là encore, les histoires inventées coïncident parfois avec la vraie, ou pas du tout, mais portent toutes l'empreinte d’un récit intime et sincère, où les participants se livrent personnellement à travers leurs mots, en s’aidant parfois d’une mise en scène, d’une musique, d’une ambiance sonore, pour habiller leurs récits ». (Tara Gulhati)

Cette fin d’année scolaire annonce les restitutions de ces ateliers, concrétisation de nombreuses heures d’échange et de créativité, que nous sommes ravi·es de vous partager ici !

Atelier intergénerationnel au lycée Abel Didelet (Estrées-Saint-Denis)

Album photo créé à partir des photos d'Arielle et Huguette

Le 16 mai 2022, la compagnie s’est rendue au Collège Abel Didelet à Estrées-Saint-Denis pour entamer une série d’ateliers sur le thème de la mémoire et le lien entre les générations. A partir de photos recueillies auprès d’Arielle et Huguette, deux résidentes de l’Ermitage, les collégien·nes (3ème) ont inventé les récits de la vie que leur inspiraient ces photos et ont confectionné des albums-photos personnalisés. Récits historiques, carnets de bord et journaux intimes sont venus augmenter leurs albums décorés de collages et de dessins que les participant·e·s ont présentés aux deux résidentes.

Atelier intergénérationnel à la résidence Le Séquoia (Illzach)

Projection du film des lycéennes à la Résidence Le Séquoia

Le 15 juin 2022 a eu lieu la restitution de l’atelier d’écriture mené entre la compagnie, le Lycée Lambert de Mulhouse et la résidence Le Séquoia d’Illzach. À partir de photos et d’objets partagés par les résident·es à Illzach, les lycéen·nes ont imaginé leur histoire. Un atelier d’écriture a été mis en place afin de raconter l’histoire des ces objets à la première personne pour ensuite mettre en voix les textes face caméra. Un film a été réalisé à partir de ces histoires et projeté dans la résidence face aux personnes ayant partagé leurs objets. 

Les workshops et la formation professionnelle

Création des bibliothécaires participant à l'atelier Exposer le livre

Après une formation donnée à l’école des Chartes de Paris le 9 mars dernier à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm autour des archives et du spectacle, Tommy Laszlo a dispensé une formation à la bibliothèque universitaire de Nancy consacrée à la thématique : « Exposer le livre : le livre comme espace scénographique ? ».

Cette formation à destination de bibliothécaires a eu lieu 16 et 17 juin derniers. Les participant·es se sont eux·elles-mêmes essayé·es à la pratique de la création à partir de livres…pour des rendus époustouflants !

EN ROUTE

POUR LA SAISON PROCHAINE

Nous terminons cette saison 2021/2022 sereinement, heureux·euses de la reprise des tournées, des nouvelles rencontres et impatient·es des prochaines aventures que la saison prochaine augure. Retrouvons-nous à partir de novembre prochain pour la tournée 2022-2023 avec un petit nouveau au catalogue : Devenir ! Nous sommes impatient·es que ce nouveau spectacle rencontre son public et que Vies de Papier retourne sur les routes.

Rendez-vous sur notre site internet pour découvrir les dates de la tournée de la saison prochaine, ou en pdf ci-dessous :

La coordination de ces différentes tournées n’a pas été une mince affaire. Elle est menée avec brio par Khaled Rabah, notre directeur technique arrivé en octobre 2021. 

 

→ Rencontre avec Khaled Rabah

Khaled a débuté dans le milieu culturel en créant avec quelques ami·es le festival de musique Métis’Art en l’an 2000. Ont suivi différentes Fêtes de la Musique et festivals dans diverses villes de France durant lesquels son intérêt pour la technique se concrétise. En 2004, il part à Lyon se former en école supérieure du spectacle et d’événementiel où il trouve sa voie en lumière. 

Après avoir travaillé entre Lyon et l’Alsace pour diverses boîtes de prestation ainsi que des théâtres et festivals, Khaled prend en charge la création lumière de différentes compagnies de théâtre et groupes de musique.

Il est aujourd’hui régisseur général du festival Momix (Kingersheim) et du festival Scènes de Rue (Mulhouse) ainsi que d’autres événements ponctuels. Il prend la direction technique de La Bande Passante à la fin de l’année 2021. Il est en contact direct avec les équipes techniques des lieux qui nous accueillent, coordonnent les plannings techniques et répétitions des artistes en amont de la représentation et organise le matériel à prévoir. Il a repris les plans techniques de Vies de Papier et, pour Devenir, a analysé et coordonné tous les nouveaux besoins techniques.

EN BREF…

La tournée de Vies de Papier s’est conclue par une 219ème représentation le 3 juin dernier aux Archives départementales de la Marne pour la saison 21/22. Un véritable défi que de faire rentrer le spectacle dans une salle qui n’est pas destinée à en recevoir. Le temps de trois jours, la compagnie s’est faite “opérateur culturel” : au-delà du montage et de la représentation, il a fallu coordonner l’accueil technique du lieu. De nouvelles perspectives de diffusion pour Vies de Papier ?

Nous sommes ravi·es de compter le FACM – PIVO — Scène conventionnée art en territoire parmi nos soutiens en coproduction pour la prochaine création Devenir !

Dans le cadre de l'Olympiade Culturelle des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024, Le Mouffetard — Théâtre des arts de la marionnette a passé commande auprès de différentes compagnies marionnetiques pour dix créations sur la thématique du sport, en castelets ou vitrines, qui viendront façonner la programmation d’OMNIprésences sportives. La Bande Passante fait partie de ces compagnies et crée Le Stade, spectacle sur lequel sera porté un regard documentaire et poétique qui relatera les petites histoires qui ont fait les grands moments des J.O de Paris 1924.

Nous entamerons, dès la saison prochaine, un projet de territoire en lien avec la mémoire de la Mine. En partenariat avec Scènes et Territoires et la Communauté de Communes Coeur du Pays Haut, ce projet s’étalera sur deux années et s’ouvrira par la diffusion du spectacle Au Fond dans certains collèges du territoire.

Parmi nos nouveaux partenaires, nous sommes heureux·euses de compter également le tiers-lieu BLliiiDA pour développer un projet d’action culturelle à Metz… Rendez-vous en 2023 !

L’équipe vous souhaite un bel été!

Quelques bobines d'ados de celles et ceux qui font la compagnie... Saurez-vous les reconnaître ?

La Bande Passante, c'est :

Camille BAROUX, Référente graphisme
Aurélie BURGUN, Responsable administrative, administration@ciebandepassante.fr
Iseult CLAUZIER, Responsable de la communication et de la diffusion, communication@ciebandepassante.fr
Benoît FAIVRE, Responsable artistique, labandepassante.cie@gmail.com
Kathleen FORTIN, Co-responsable artistique sur le projet Devenir
Tara GULHATI, Responsable de la médiation et de la coordination, mediation@ciebandepassante.fr
Tommy LASZLO, Co-directeur artistique des Mondes de Papier
Khaled RABAH, Responsable technique
Sophie APTEL, Marie Jeanne ASSAYAG, Charline DEREIMS, Régisseuses de tournée

 

La compagnie La Bande Passante est conventionnée par la Direction régionale des affaires culturelles du Grand Est. Elle bénéficie du soutien financier de la Région Grand Est pour la période 2020-2022. La compagnie est conventionnée avec la Ville de Metz.

logo la bande passante

LA BANDE PASSANTE
3, rue Georges Bernanos 57050 METZ (Fr)
ciebandepassante.fr

Cet email a été envoyé à @, cliquez ici pour vous désabonner.

LA BANDE PASSANTE 10 Quai Paul Witzler 57000 Metz - FRANCE

Contactez-nous

La Bande Passante
3 rue Georges Bernanos 57050 Metz
Diffusion / Production
Responsable de la Communication et de la Diffusion – Iseult Clauzier

Newsletter