Devenir(S) – Créations Participatives

Et si vous aviez vous aussi un journal à partager ?
Si vous représentez une structure ou une institution et souhaitez accueillir une étape de ce projet, contactez-nous !

Pour visiter le site,  c’est ici :
Devenir(s) Partages de Récits de Soi Adolescents

Devenir(s)

Un cycle vivant autour des récits adolescents

Et si vous aviez vous aussi un journal à partager ?
Si vous représentez une structure ou une institution et souhaitez accueillir une étape de ce projet, contactez-nous.

Depuis 2019, la compagnie La Bande Passante développe Devenir(s), un cycle de création consacré aux récits adolescents — leurs écritures intimes, leurs silences, leurs révoltes, leurs fragments. C’est un projet en mouvement, toujours nourri de nouvelles voix, de nouvelles formes, de nouvelles rencontres.

Une matière immense, sensible, vivante

Le projet a commencé par un appel à journaux intimes. Quinze personnes ont répondu d’abord, puis des dizaines d’autres. Aujourd’hui, plus de 8000 pages ont été lues, classées, anonymisées, parfois partagées. D’autres textes ont été écrits en atelier, dans les lycées, les collèges, les médiathèques. Des lettres ont circulé entre villes, entre générations.

Ce n’est pas une enquête. Ce n’est pas un inventaire. C’est une matière vivante, traversée d’angoisses, de désirs, de questions universelles :

Comment grandir ?
Comment dire ce que l’on n’ose dire à personne ?
Comment se regarder soi-même ?

Un archipel de formes

Devenir(s) n’est pas un spectacle. Ou plutôt : le spectacle Devenir (2022) est l’un des îlots d’un archipel plus vaste.

Ce cycle de création se compose d’un réseau de formes, toutes autonomes mais reliées entre elles :

  • un spectacle, créé avec deux interprètes adultes qui naviguent entre journaux récoltés et souvenirs personnels ;
  • un livre, Refermez ce journal (2024), qui donne à lire des extraits sans commentaire, dans un montage sensible ;
  • un site webdocumentaire, pensé comme un lieu de circulation, d’écoute, de correspondances (textes, sons, vidéos, objets) ;
  • des installations, des lectures, des cartes sensibles, des disques ;
  • des ateliers d’écriture, de lecture, de création sonore ou plastique, menés dans toute la France, en lien étroit avec les habitant·es.

Des formes adaptables à chaque contexte

Chaque territoire traversé par Devenir(s) donne naissance à un projet singulier.

Nous ne dupliquons pas un format : nous l’inventons avec celles et ceux qui nous accueillent, en ville comme à Metz, Nancy, Forbach, Oloron sainte marie ou Vandœuvre, mais aussi en milieu rural comme dans le Coeur du Pays haut, ancien territoire minier.

Il était une fois dans l’Est, est l’un des exemples les plus aboutis de cette démarche.

Chaque étape du cycle peut ainsi devenir :

  • un atelier ponctuel ou au long cours,
  • une installation conçue pour un lieu précis,
  • une carte sensible sonore ou visuelle,
  • un livret de territoire,
  • un objet à co-construire avec des habitant·es, des structures culturelles ou sociales, des artistes associés.

Le cycle Devenir(s) est donc une plateforme ouverte : chaque projet est une nouvelle constellation, pensée avec soin, selon les récits et les personnes en présence.

Un lieu où l’on peut déposer ce qui nous traverse

À travers ce cycle, nous avons découvert à quel point l’adolescence est un moment d’intensité. D’isolement aussi.
Et combien la pratique du journal intime reste un lieu précieux, face au bruit des réseaux, face aux regards, face à ce que l’on n’ose pas dire à voix haute.

Les textes que nous avons reçus parlent d’amour, de corps, de peur, de rage, de solitude, de fierté. Et souvent d’une même sensation : celle d’être seul·e au milieu des autres.
Mais ce qui revient le plus, ce sont les échos. D’une époque à l’autre, d’une ville à l’autre, les mots se répondent. Les vécus se ressemblent.
Alors nous avons décidé de mettre tout cela en commun.

Ce site : un espace documentaire et poétique

Le site devenir-ciebandepassante.fr est né de ce désir : faire résonner les voix. Non pour les analyser, mais pour les faire circuler.

C’est un lieu de navigation libre, de découverte sensible, sans parcours imposé.
On y trouve des extraits de journaux, des lectures à voix haute, des compositions musicales, des images, des dispositifs à reconstituer.

C’est un lieu de dérive. Un lieu de fouille. Un lieu d’écoute.
Un lieu pour se reconnaître dans les questions des autres.

Un projet à poursuivre ensemble

Le cycle Devenir(s) est un projet au long cours. Il continue de s’écrire. De s’ouvrir.
Nous proposons des ateliers dans des établissements scolaires, des centres sociaux, des médiathèques, des lieux de soin ou de création.
Nous tissons aussi des liens avec d’autres artistes et structures engagées dans des démarches voisines.

Si vous souhaitez contribuer, accueillir une étape du projet, ou simplement nous faire parvenir un texte, un souvenir, une voix : écrivez-nous.
Chaque nouvelle rencontre est une façon de faire respirer ce projet.

La presse en parle

« À la manière d’historiens du quotidien, les artistes de la Bande Passante ont épluché des dizaines de journaux intimes d’auteurs ou d’anonymes en quête de traces laissées par les adolescents d’hier et d’aujourd’hui. »
Mouvement, Agnès Dopff, sept. 2022

« Chaque établissement a décliné ce thème à sa façon, selon un protocole établi par La Bande Passante… C’est tisser un lien avec un spectacle et surtout avec la population, montrer les constantes des souvenirs, les générations… »
La République des Pyrénées, K. R., 8 fév. 2023

Devenir(s)

Ce que l’adolescence fait à l’art.
Ce que l’art fait aux écritures adolescentes.

Depuis 2019, La Bande Passante explore l’adolescence non pas comme un thème, mais comme un territoire d’adresse. Avec le cycle Devenir(s), la compagnie engage un travail au long cours autour des journaux intimes, des écritures de soi, des fragments de voix que les adolescent·es déposent sur le papier — parfois avec violence, parfois avec douceur, toujours dans une forme d’urgence.

Ce cycle ne se résume pas à un spectacle. Il se déploie sous des formes multiples : théâtre, recueil, site web, installations, ateliers. Il se nourrit de récits confiés, collectés, croisés avec ceux des artistes. Et il interroge cette zone fragile où l’intime devient partageable, sans jamais cesser d’être singulier.

Une collecte poétique, pas un sondage

Le point de départ : une collecte d’écrits intimes. Des journaux, lettres, carnets, blogs, confidences manuscrites ou numériques. Des adolescent·es de tout âge ont confié ces textes à la compagnie. Un comité de lecture s’est formé, pour les lire sans juger, sans trier selon des critères esthétiques, mais pour laisser résonner les voix, faire apparaître des motifs, des tensions, des trouées.

« Ce qui nous intéressait, ce n’était pas de représenter l’adolescence. C’était d’écouter ce que les adolescent·es avaient à dire, même à leur insu. »
— Extrait de carnet de bord

Un théâtre d’objet qui ne raconte pas d’histoire

Le spectacle Devenir (2022) ne met pas en scène des personnages adolescents. Il propose un espace mental, un atelier de souvenirs, une constellation de fragments. Deux interprètes — adultes — manipulent des objets, lisent des extraits, évoquent leurs propres journaux d’enfance. On ne sait plus toujours qui parle. Et c’est précisément cela qui fait œuvre.

La matière n’est pas illustrée. Elle est mise en tension : avec la musique, les images, le silence, les gestes.

Un projet en archipel

Autour du spectacle, d’autres formes prennent vie :

  • Le recueil Refermez ce journal (2024) rassemble une sélection de textes dans leur état brut, sans commentaire, dans un montage sensible.
  • Le site web devenir-ciebandepassante.fr propose une navigation entre sons, images, citations, vidéos, portraits. Ce n’est pas une archive, c’est une forme en soi.
  • Des installations apparaissent dans les villes : vitrines, parcours sonores, lectures publiques. Chaque lieu donne naissance à un fragment du projet.
  • Des ateliers sont menés dans les écoles, les médiathèques, les rues, où l’on écrit, on écoute, on partage.

Une éthique de l’écoute

Devenir(s) refuse l’extraction. Il ne prélève pas des récits à des fins artistiques. Il entre en relation. À chaque journal reçu, la compagnie répond par un geste : un fragment scénique, une lecture, une lettre, un silence. À chaque fois, elle s’interroge : Avons-nous le droit de montrer cela ? Comment ? Pour qui ?

« Nous avons mis en place un protocole : si un·e ado nous confie une page intime, nous devons à notre tour plonger dans nos propres archives. »

Ce qui se tisse

Devenir(s) n’explique pas l’adolescence. Il la laisse faire. Il en fait une forme dramaturgique : discontinue, multiple, éclatée, résonante.

C’est un projet qui relie, sans simplifier. Un projet qui invite à penser la scène, le livre, le web, l’atelier comme des espaces d’écoute équivalents.
Un projet qui affirme que l’écriture de soi — même fragile, même maladroite — peut être accueillie comme une forme d’art à part entière.

Depuis 2019, la compagnie la Bande Passante a initié un nouveau cycle de création consacré aux récits intimes adolescents intitulé Devenir(s).

Ce cycle a débuté par un appel à témoignages, avec plus d’une quinzaine de participant·es qui nous ont confié leurs écrits. Ce sont ainsi plus de 8000 pages que nous avons lues, triées, répertoriées, et dont nous avons extrait des centaines de citations.
Ce sont aussi des résidences en milieu scolaire dans les collèges et les lycées qui nous ont permis de récolter des écrits d’ados d’aujourd’hui, notamment par l’écriture et la réalisation de vidéos poétiques. Une correspondance de plus de 60 lettres a aussi été mise en place entre des adultes de Forbach et des jeunes de Vandœuvre et a permis de créer un film et un spectacle issu de ces écrits.

 

 

Petit à petit, le cycle Devenir(s) s’est constitué en deux volets :

  • Le premier objet de cette recherche était de créer un spectacle.
    Intitulée Devenir, cette forme plateau d’une heure a été créée pour la première fois en novembre 2022 au théâtre de Laval.
    Dans ce spectacle, 2 interprètes (Maxime Kerzanet et Kathleen Fortin) explorent leur propre adolescence au travers des journaux intimes qu’ils ont récoltés.
    Cette création repose sur les textes et les documents d’adolescent·es que nous avons récoltés, lequels sont mis en scène, en images et en musiques, nous permettent d’explorer ensemble cet endroit commun et essentiel de nos vies.
    La page du spectacle est ici, un retour sur le processus de création est consultable .

 

 

  • Le second volet, qui s’est d’abord constitué comme base documentaire du spectacle, mais qui s’est vite avéré être une composante parallèle de notre travail sur l’adolescence, a constitué en véritables créations participatives pensées sur mesure avec les habitant·es et les partenaires de nombreux territoires.
    Au fur et à mesure de notre travail et des perspectives d’explorations qui se dessinaient, nous avons cherché comment mettre en commun ces très nombreuses et précieuses collectes. Nous avons souhaité partager ces récits par de nouvelles explorations artistiques : Edition de livres, de disques, expositions, création in situ…
    Chaque création fixait à nouveau les choses. Et suscitait de nouvelles contributions (voir le dossier)

Des constellations de vies

Pourquoi commence-t-on un journal intime ?
De nos lectures, nous avons conclu que la pratique du journal ne constitue pas tant un besoin de se souvenir, mais d’abord un besoin d’être sincère avec soi.
Les adultes disent et pensent que les ados d’aujourd’hui se racontent sur les réseaux sociaux. La vérité est que le réseau social, tourné vers l’extérieur, est justement un endroit de paraitre, et que la pratique du journal est d’autant plus nécessaire que l’on se travestit pour correspondre à ce que le monde attend de nous.
Le journal intime est l’endroit où l’on s’exprime sincèrement, et souvent ces journaux parlent de l’isolement que ressentent les ados au milieu des autres.
Ce qui surprend, c’est pourtant les points communs entre tous ces vécus. La plupart des ados que nous avons rencontrés et des adultes qui nous ont confié leur récits ont été surpris de retrouver chez des inconnus de toutes les époques autant de morceaux de vie qu’iels pensaient être les seul·es à vivre.
Et si nous mettions tout cela en commun ?

 

Extrait du livre Refermez ce journal,
mis en page par Camille Baroux

Un site webdocumentaire pour mettre en commun les récits adolescents

Toute cette matière déjà récoltée, toute cette matière en cours de récolte, quoi en faire ?
Comment organiser toutes ces pensées qui semblent résonner entre elles ?
Comment donner du sens à toute cette agitation contenue dans toutes ces vies, dans tous ces écrits et toutes ces créations ?
Il s’est vite avéré qu’un site webdocumentaire serait l’endroit complémentaire idéal pour collecter, archiver et partager tous ces témoignages.
Le projet a mûri petit à petit, et à été mis en ligne à l’occasion d’une grande exposition à l’espace Jéliote d’Oloron Sainte Marie pour accueillir tous les témoignages récoltés dans le pays du Béarn.
Grâce à l’aide de Thomas Daveluy, Camille Baroux et Yves Robin, tous ces récits et créations ont pu être archivés, analysés, et mis en relation dans l’espace et dans les mots.
Un endroit qui puisse accueillir toute cette matière et lui donner forme.
Un endroit où l’on peut voyager et se laisser dériver.
Un endroit où l’on peut aussi chercher des témoignages et des pensées sur certains sujets que l’on ne se sent pas le droit d’exprimer comme on le voudrait. Un endroit où à défaut de trouver les réponses, on peut constater que l’on est pas seul·e à se poser les mêmes questions.

 

 

Un projet dans le temps long

C’est un cycle consacré à l’adolescence que nous avons ouvert avec la compagnie, et celui ci ne s’est pas achevé par la création d’un spectacle, et non plus par la création d’un site web. Nous allons continuer à organiser plusieurs ateliers de collecte et de création dans tout l’hexagone et au delà.
Mais plus que cela, nous allons transmettre nos propres expériences et outils à d’autres artistes, et tisserons des liens avec celles et ceux qui ont déjà travaillé ces sujets et qui ont leurs propres projets de récoltes et d’écritures.
Au final, grâce à toutes ces histoires récoltées, c’est notre histoire à toustes sur laquelle nous pouvons avoir un regard, et peut être une possibilité d’action.

Les médias parlent de Devenir(s)

« À la manière d’historiens du quotidien, les artistes de la Bande Passante ont épluché des dizaines de journaux intimes d’auteurs ou d’anonymes en quêtes de traces laissées par les adolescents d’hier et d’aujourd’hui »
Mouvement, Smells like teen spirit, Agnès Dopff,  septembre 2022

 

Lire l’article


« Chaque établissement a décliné ce thème à sa façon, selon un protocole établi par La Bande Passante : collectage de témoignages et vidéos, photographies, mises en voix d’un corpus d’écrits sur l’adolescence, correspondance avec les résidents de l’Ehpad de Monein, avec des associations d’Oloron et des abonnés de l’Espace Jéliote, avec l’association Tram-e d’Oloron… en prenant la carte postale pour support… C’est tisser un lien avec un spectacle et surtout avec la population, montrer les constantes des souvenirs, les générations… »
La République des Pyrénéees, Adolescence, un partage en ‘Devenir’ à Oloron, K. R., 8 février 2023

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les participant·es parlent de Devenir(s)

« Avec l’atelier Devenir, je suis devenue ! »
(Michelle, 60 ans)

« Bel hymne à l’amour, à l’adolescence ! ❤❤ »
(Sophie, 45 ans)

« Ich bin froh, nicht die einzige zu sein, die so denkt.» 
(Je suis heureuse de ne pas être la seule à penser comme ça)
(Maiwenn, 12 ans)

« Quel moment ! Je n’ai jamais tenu de journal mais j’aurais pu écrire tout ce que j’ai entendu ! Criant de vérité ! Intemporel ! Magnifique ! Troublant ! »
(Sabrina)

« Suivons cet adolescent qui nous aime. L’adolescent que j’étais serait content de voir que je suis ses rêves. Grâce à vous, je l’embrasse et l’enlace tendrement. Il peut avoir confiance. »
(Arsène G.)

« Parlant pour toutes les générations ! »

« Cela nous renvoie à notre propre histoire, c’est assez perturbant. J’ai le regret de ne pas avoir proposé à mes ados de venir (14 ans, 17 ans, 19 ans, ados/adultes). »

« J’ai 14 ans et ai pu vraiment m’identifier aux personnages. Je fais du théâtre et de la musique. D’ailleurs votre musique était vraiment bien. »
(Arthur)

« Merci d’alimenter les rêves, avec l’espoir qu’ils deviennent réalité. »

« L’enfance et l’adolescence sont des épreuves à passer, quand on est adulte on oublie qu’on a subi ça. »

« Que d’émotions ! Oui, nous sommes tous plusieurs en nous-mêmes ! L’adolescence, cette période bénie de doutes et d’enthousiasmes, toujours à fleur de peau, pour longtemps. »
(Claudy)

« Merci pour m’avoir reconnectée à cette période si intense, qui fait sens… C’est bon de la retrouver, de ne pas l’oublier… »
(Elodie)

CONTRIBUTEURS

Conception du Site : Thomas Daveluy, Camille Baroux, Benoît Faivre, Yves Robin
Collecte Documentaire : Benoît Faivre, Kathleen Fortin, Thomas Gourdy, Maxime Kerzanet
Conception Sonore : Benoît Faivre
Créations Musicales : Maxime Kerzanet
Collecte documentaire : Camille Baroux, Alicia Charrier, Charline Dereims, Tommy Laszlo, Leila Bessahli, Benoît Faivre, Kathleen Fortin, Thomas Gourdy, Tara Gulhati, Andreea Vizitiu, Guillaume Leprevost.
Administration : Aurélie Fischer
Diffusion & communication : Iseult Clauzier

Les acteur·ices locaux partenaires et ami·es

Artistes :
Natacha Sanchoz (plasticienne)
Christelle Véron (vidéaste)
Emma Barthère (photographe)
Violette Campo (metteuse en scène et comédienne)

Strutures partenaires :
Le Tandem – Scène nationale de Douai-Arras (59)
Espace Jéliote – CNMa, Oloron-Ste-Marie (64)
CCAM – Scène nationale de Vandœuvre-lès-Nancy (54)
Le Centre dramatique national de l’Océan Indien – La Réunion (974)
Le Carreau – Scène nationale de Forbach et de l’Est mosellan (57)
Le Sablier – CNMa, Ifs-Dives-sur-Mer (14)
FACM/PIVO – Scène conventionnée, Val d’Oise (95)
Le Théâtre de Laval – CNMa (53)
L’Arsenal – cité musicale de Metz (57)
L’Odyssée – Scène conventionnée, Périgueux (24)
La Faïencerie – Scène conventionnée, Creil (60)

Etablissements scolaires :
Collège Simone de Beauvoir, Vandœuvre-lès-Nancy (54)
Atelier des adultes amateurs du Carreau (57)
Ecole Jules Verne, Metz (57)
Collège Anne Frank, Périgueux (64)
Collège de Lasseube (64)
Collège de Barétous (64)
Lycée St Joseph, Oloron-Ste-Marie (64)
Lycée de Chéreaute (64)
Lycée agricole d’Orthez (64)
Ehpad de Monein (64)

Associations :
Tram-E, Oloron-Ste-Marie (64)

Partenaires institutionnels :
Archives de la Ville de Creil (60)

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La Bande Passante
3 rue Georges Bernanos 57050 Metz
Diffusion / Production

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